Samedi 15 mars 2025

Samedi-littéraire avec la participation de : Philippe Billard, Patrick Chabbey, Philippine de Gréa, François Pilet et Agnès Rapin et Jean-Noël Wetterwald

L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est samedi_litteraire_mars-vignette.jpg.Samedi 15 mars 2025 à 14h15
Espace Arvoisie, St-Pierre-de-Clages

L’entrée est libre. Une verrée est offerte par l’Association du Village du Livre en fin de lecture. Les auditeurs et les auteurs font connaissance et échangent librement dans une ambiance détendue et sympathique.

Auteurs présents le samedi 15 mars

Philippe Billard est né à Genève. Père de deux filles et de deux garçons, il a goûté au bonheur d’être trois fois grand-père. Ses passions sont naturellement l’écriture, mais aussi le sport, ainsi que la navigation sur une barque tout en bois âgée de 60 ans.

Inspecteur Max, 5 sens éditions
Le 12 avril 1980, Sara Moreau est retrouvée morte près de l’Allondon, à Genève. L’enquête conclut à une noyade accidentelle, une version qui n’a jamais convaincu l’inspecteur Maxime Chapuis. À l’aube de sa retraite, il rouvre l’affaire avec Joanna, clairvoyante autant que spirituelle, pour explorer des pistes inédites.

Patrik Chabbey  (photo Martin Chabbey) est né à Sion. Son karma d’encre et de papier l’a vu être libraire, journaliste, manager de presse, syndicaliste puis à nouveau libraire. Parti du Valais à 20 ans, il y est revenue en 2009 pour prendre la direction du Nouvelliste. Plusieurs (més)aventures, plus tard, il a eu le bonheur d’exercer comme dernier emploi la gérance de la libraire Payot à Sion.

Cimetière des Lilas Ed. Pillet La vie ne fait pas de cadeau, mais chacun peut faire le choix d’en devenir un pour autrui. Jacques, gardien du Cimetière des Lilas, vit seul avec son chien Bruno, âgé de 10 ans… pour toujours et visible de lui seul, mais d’excellente conversation. Un soir, il sauve Julie, une jeune fille perdue, de mourir de froid. Une amitié naît : Julie dessine, Jacques écrit. Entre la dureté du monde et la bienveillance de Jacques et Bruno, l’espoir subsiste.

Philippine de Gréa, de son nom de plume, lit même en marchant ou en promenant son chien. Épouse et mère de quatre enfants, elle se dit « hyperactive » et jongle entre sa vie de famille, son métier d’auteure, sa petite entreprise de gâteaux d’anniversaire bio et ses ateliers d’écriture hebdomadaires à Etoy.

Panique au Swiss Vapeur Parc, Ed. Auzou
Émilie et ses amis, Axel et Hugo, profitent de l’ambiance sinistrement joyeuse d’Halloween au Swiss Vapeur Parc. Mais d’étranges incidents, parfois dangereux, surviennent. Un mécanicien déguisé en Frankenstein semble toujours dans les parages. Intrigués, les adolescents le suivent discrètement, sans se douter que le danger est tout proche…
 

François Pilet est né à Rossinière, dans le Pays-d’Enhaut et a exercé comme médecin de famille à Vouvry pendant près de 40 ans. Enseignant à l’Université de Lausanne, il a formé étudiants et jeunes médecins. En 2017, il a reçu le prix Jean-Paul Studer pour « son engagement qui a fait grandir l’humanité dans la médecine de famille ».

Des regards et des maux, Ed. Favre
Récits drôles ou poignants et réflexions sur le sens du métier se répondent et s’entremêlent autour d’un fil rouge : comment offrir une présence de qualité, présence face à face ou côte à côte, une attention à l’autre telle qu’une vraie rencontre ait lieu et permette, dans la mesure du possible, de soulager la souffrance ?

Anaïs Rapin vit en Suisse, dans le Grand Lausanne. Elle commence à imaginer des histoires lorsqu’elle a quatre ans, en les dictant à sa maman (elle ne sait pas encore écrire…). À l’âge de 16 ans, elle décide de faire imprimer son premier roman, Si mais non, le troisième qu’elle a écrit. Ce projet se fait en parallèle de son apprentissage d’employée de commerce et de sa maturité professionnelle trilingue. Elle aime partager, créer, raconter et surtout Vivre. 

Si mais non Jamais je n’aurais pensé que l’on déménagerait en face de l’ex-mari de ma mère et je crois que j’aurais encore moins pu imaginer tout ce que cela déclencherait…
Si seulement Raphaël, accessoirement son fils, et moi avions pu vivre notre histoire comme les autres. Non, Audrey, c’est faux. Cette histoire est unique et l’on s’est battus pour elle.

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